Est-ce votre première visite sur ce blog voyage ? J’ai quelque chose qui pourrait vous inspirer pour vos prochains voyages : Un guide des 7 villes en Europe à découvrir absolument !

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5 années de voyage - Le jour où j'ai franchi le pasJe regarde mon calendrier, le temps qui passe, et je réalise que cela fait 5 années que je voyage. Oui, cela fait maintenant 5 ans que j’ai osé franchir ce pas. Ce pas dont vous avez été plusieurs à me parler car il vous bloque et qui vous est difficile de surmonter.

 

 

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Le jour où j’ai franchi le pas

Je suis là chez moi, je regarde les gouttes d’eau tomber dans la rue depuis ma fenêtre et je réalise ce que j’ai pu vivre jusque là. Et dire que j’ai failli ne jamais vivre tout cela.

J’aurais toujours pu regarder le monde uniquement depuis cette fenêtre et passer à côté d’expériences qui m’ont changées, m’ont forgées et font qui je suis aujourd’hui.

Décollage d'un avion

Il y a 5 ans, j’ai répondu « oui » à une simple question. La question d’un ami « Tu veux venir avec moi à Rome ? ». Que répondre à ça ? Oui ! Non ! Peut-être ! Dans ma tête les 3 réponses se bousculaient jusqu’à dire « oui ». Je réalisais qu’il fallait saisir cette occasion car j’avais peur de partir seul, j’avais peur de voyager tout simplement. Pourtant, au fond de moi, j’avais envie de voyager depuis plusieurs années.

 

5 années de voyage

En cette fin juin 2012, j’étais toujours étudiant, je venais de finir mes examens dans ma 2e année d’un Bachelier (Bac +3) en arts numériques avec un joli résultat. Pas d’examen en deuxième session et en plus une mention à la clé.

Je ne pouvais qu’être apaisé pour partir. Oui, enfin… j’étais stressé comme un fou. Ce n’était pas la première fois que j’allais prendre l’avion. J’avais eu l’occasion de le prendre un an plus tôt pour prendre des photos de la présentation d’une comédie musicale à Nice. Ce n’était pas des vacances cette fois-là.
Là, en juin 2012, j’allais vivre mon premier voyage. Un vrai. Je n’avais pas eu l’occasion de voyager avec ma famille hormis une semaine à la mer du Nord (et oui belge jusqu’au bout) quand j’avais 12-13 ans.

Là oui je partais pour Rome. Si difficile à réaliser. Ma famille toute stressée malgré mes 23 ans. On reste toujours un enfant quelque soit l’âge.

Ce pas que j’ai franchi vers Rome m’a ensuite mené vers beaucoup d’autres endroits. On dit que tous les chemins mènent à Rome, pour moi c’est plutôt tous les chemins depuis Rome mènent partout ailleurs.

J’avais toujours eu envie de découvrir la capitale italienne, plus que tout.

La chaleur italienne, ce soleil qui faisait bronzer ma peau si blanche, cette glace que je dévorais au coin d’une rue, cette pizza que je savourais sur une place. Être à l’intérieur du Colisée. Voir la fontaine de Trévi. Oui, c’était bien cela que je voulais vivre. C’était des moments comme ceux-là qui me rendaient heureux. J’avais ce sourire, cette joie. C’était un réel bonheur.

Mais 3 jours ça passe vite, bien trop vite. Alors que faire ? Une seule solution ! Partir 3 semaines plus tard à Budapest pour découvrir cette ville un peu plus éloignée encore de la Belgique. Budapest qui est devenue ma ville favorite en Europe après y être allé à plusieurs reprises.

Budapest

Budapest

J’ai ensuite entamé ma dernière année d’étude pour obtenir ce joli diplôme de cette école des Beaux-Arts en Belgique. Les arts numériques me passionnaient, j’osais rêver d’un avenir dans ce domaine. Je savourais cette passion de la photo et de la vidéo, l’étude du cinéma et de l’art. Pourtant, je sombrais de nouveau dans cet enfer. J’étais dans mon kot (logement étudiant en Belgique) à Tournai, couché sur mon lit, je regardais de nouveau par cette fenêtre depuis le toit de cet immeuble. Je voyais les nuages bouger, parcourant la planète. Je voulais bouger, je voulais moi aussi parcourir le monde.

Tout d’un coup, sans que je comprenne trop comment et pourquoi, je me suis retrouvé en Ukraine pour découvrir Tchernobyl. Quelle idée m’étais donc venue là ? Encore une fois, je suivais ce même ami qui partait là-bas et qui m’avait proposé cette destination. Le lieu m’interpelait, je dois bien l’avouer. C’est le genre de lieux qui me donnait envie de voir, d’être sur place et de ressentir ce qui s’en dégage. Plus qu’au travers de l’écran d’une télévision ou d’un ordinateur. C’était l’hiver, plein de neige à Kiev, et je partais vers Tchernobyl avec, une nouvelle fois, l’inquiétude de ma famille.

Tchernobyl

Tchernobyl

À cette période, j’aimais beaucoup le vert fluo pour me vêtir et lorsque je suis rentré de ce séjour, l’un de mes professeurs aux beaux-arts s’est amusé durant des mois à rappeler à tout le monde que j’étais « radioactif ». Je réalisais que je marquais les esprits, et franchement, ça ne me déplaisait pas. Je marquais les esprits pour le voyage et la découverte. Les personnes me demandaient des renseignements sur ce lieu, de voir des photos, de savoir comment cela s’était passé. J’étais à mille lieux de l’image que l’on pouvait avoir de moi 10 ans plus tôt quand je ne parlais à quasi personne, où j’étais plutôt le genre de gars que l’on faisait chier et dont on se moquait. Désormais, je me sentais vivre grâce au voyage.

Je voulais repartir. C’était sûr. Mais mes études me prenaient du temps. Je devais pas mal travailler sur de nombreux projets, je voulais réussir cette 3e année et tout mon cursus sans seconde session. Je voulais une mention chaque année. Je voulais me battre pour réussir car auparavant je m’étais fait démotivé dans une autre école en infographie où je ne parvenais pas à me battre suffisamment. C’était à l’époque un monde que je découvrais et que je trouvais trop difficile.

Lors de cette dernière année d’étude où je devais renoncer aux voyages, j’avais aussi renoncé à ma passion pour la musique. C’était terminé le saxophone et le violon. Difficile de franchir ce pas mais il le fallait. Durant cette année, j’avais la chance d’effectuer un stage de monteur vidéo à la télé publique nationale belge. Un domaine qui m’intéressait grandement et où j’ai beaucoup appris.

Ensuite, les mois ont passé et la bonne nouvelle a fini par arriver. J’avais mon diplôme en poche et je pouvais foncer vers de nouvelles aventures durant l’été. Juste travailler quelques semaines en job étudiant, comme chaque été, mais cette fois-ci le bonheur de voyager arrivait ensuite.
Après en avoir parlé avec des étudiants et avoir longuement réfléchi moi-même, je renonçais à poursuivre mes études avec un master car je n’en voyais pas l’intérêt et ce que j’allais y apprendre de plus. Je ne voulais plus poursuivre ce cursus avec des cours de dessin ou graphisme qui ne reflétaient pas qui j’étais et pour lesquels je n’étais pas réellement passionné. Mon monde, c’était la photo et la vidéo, et c’était la partie que j’appréciais dans ces études, pas trop le reste.

Je partais pour 40 jours en Europe de l’Est. C’était mon premier voyage en sac à dos. Plus le temps passait et plus je donnais de soucis à ma famille avec des projets de plus en plus grands. Le voyage m’apportait tant. Je ne partais pas seul, toujours avec cet ami qui m’avait emmené à Tchernobyl. Nous partions 40 jours et 40 nuits à la découverte de cette partie de notre continent.

Ce voyage a été le plus gros déclic pour moi. Imaginez-vous 40 jours où vous traversez 12 pays, où vous rêvez, où vous êtes fatigués, où vous stressez… Et un jour, voilà que le voyage se termine. Il faut revenir « à la réalité ». Oui, cette réalité où je retrouve une chambre. 24 ans, bientôt 25, fini mes études et un diplôme en poche, fini les 3 années en kot et je retrouve ma chambre d’enfance chez mes parents. Cette réalité où je n’ai pas de travail et où le voyage me manque. Je ne voyage plus et des mois passent avant qu’enfin je puisse me remettre de ce choc de fin, de ne plus voyager. Je me disais « Ouah 40 jours de voyage et je ressens ça à la fin. Qu’est-ce que ce sera lorsque je partirai pour plusieurs mois ou une année ? ».

Je n’avais même pas envie d’y songer. J’étais juste triste. J’aimais voyager et là je ne pouvais plus. Je participais bénévolement à quelques réalisations vidéo dans l’espoir que cela mène quelque part. Je cherchais désespérément un emploi où à chaque fois je recevais la réponse que l’on connait malheureusement presque tous : « pas assez d’expérience ». Je désespérais, je voulais repartir. Sans revenus, c’est l’argent que j’avais reçu pour les fêtes de fins d’années, d’objets dont je n’avais plus besoin et que j’avais vendu sur internet, que j’ai utilisé à l’été pour partir vivre mon premier voyage solo.

Les montagnes à Andorre

Les montagnes à Andorre

Je me sentais prêt mais j’étais effrayé. Je le voulais tant ce voyage. Tout comme Rome, Barcelone était une ville que je voulais découvrir. Alors quoi de mieux pour un premier voyage solo. Je me préparais un parcours de 11 jours où j’irais à AndorreBarcelone, et ensuite Madrid. 10 mois que je n’avais plus voyagé et ça me démangeait tant. Dans l’avion, je n’ai mis que quelques secondes avant de réaliser que je prenais la bonne décision. C’était parfait. Je vivais mon rêve. J’avais peur d’être seul mais je me disais qu’au pire je n’y serais que durant 11 jours.

Le Parc Güell à Barcelone

Le Parc Güell à Barcelone

Sur les voyages que je vivais, je rencontrais des personnes, et de plus en plus, cela devenait pour moi la magie du voyage.

Vous savez, quand on y goute… on ne peut plus s’en passer. Le voyage est une addiction, il vous prend, vous dévore, fait de plus en plus partie de vous sans que vous puissiez lutter. Vous en voulez toujours plus. Les autres le comprennent difficilement.

Un petit retour à cette terrible réalité plus tard…

Au retour, en plus de mon énervement face à l’absence d’emploi qui était à son paroxisme, j’ai annoncé à ma famille que je comptais partir vivre au Canada durant un an. Vivre à l’étranger grâce au PVT. J’ignorais comment j’allais financer tout cela mais c’était mon souhait. La crainte montait un peu plus en eux car je leur parlais de voyage de plus en plus « fous » à leurs yeux.

Les mois passaient, ma recherche d’emploi était toujours infructueuse et pourtant je cherchais. Tant d’efforts pour rarement des réponses et quand il y en avait, c’était pour lire cette phrase qui m’énervait de plus en plus. Je décidais de chercher une formation plus performante dans le domaine vidéo. Je voulais devenir caméraman en télévision et apprendre à utiliser les grosses caméras. Je manquais aussi de connaissance dans le domaine du son et de la lumière.

Quelques mois de formation plus tard et un stage de caméraman-monteur dans une télé locale, je me sentais revigoré, je me disais « Voilà, c’est bon ! J’ai tout ce qu’il faut ! Maintenant j’vais trouver un boulot ! »… Malheureusement, j’ai vite compris que ce secteur était bouché et qu’en ne sortant pas d’une école réputée dans le domaine, c’était bien plus compliqué pour moi malgré que j’avais les connaissances. Pour preuve, j’avais pu tourner et monter plusieurs reportages en télévision lors de mon stage où je me retrouvais seul avec les journalistes. Mon boulot avait plu mais quand on engage pas… on engage pas !

Octobre 2014… Et oui, déjà 26 ans, toujours dans cette chambre à regarder les nuages. Putain de nuages que je jalousais.

Janvier 2015 arrivait, deux nouveaux voyages approchaient, et le souhait de parler un peu de mes voyages, de parler de tout cela sur un blog se faisait ressentir. C’est à ce moment qu’est né « Traversée d’un monde ». Je n’ai pas beaucoup écris dessus la première année, juste un article par mois. Je ne connaissais rien au blogging, je me trouvais cette nouvelle passion et je devais tout apprendre.

Skopje - Macédoine

Skopje – Macédoine

Soit, je repartais à l’aventure. En avant pour partir découvrir une autre partie de l’Europe de l’Est : Macédoine – Kosovo – Albanie. Un voyage d’une semaine avec un intérêt particulier pour le Kosovo.

Retour quelques semaines en Belgique et ensuite nouveau départ pour la Moldavie, mais plus particulièrement pour partir découvrir Tiraspol en Transnistrie.

Tiraspol en Transnistrie

Tiraspol en Transnistrie

Tchernobyl, Kosovo, Transnistrie. Je voulais parler de tout ça sur le blog, ça me motivait ce joli projet que j’avais. J’avais débuté le voyage deux ans et demi plus tôt, je voulais en parler et échanger avec des « futurs » lecteurs sur cette passion, sur ces destinations.

Et là, un jour, le soleil est arrivé. Cette lumière a percé les nuages et cette pluie s’est arrêtée. Ça y était. Un job. Là devant moi. Après deux années infructueuses et plusieurs réalisations vidéos en stock. J’avais un job… Ok, c’était un job administratif qui correspondait à mes études en secondaire de technicien de bureau – administratif, comptabilité… mais c’était un job. Je l’avais. J’étais heureux car j’avais devant moi le moyen de financer mon rêve de partir vivre au Canada.

Le lac Bohinj en Slovénie

Le lac Bohinj en Slovénie

Un court séjour est arrivé pour partir découvrir la Slovénie avec la capitale Ljubljana ainsi que le lac de Bled et le lac Bohinj. Sans oublier un joli passage par la Croatie, encore une fois Budapest, mais surtout la découverte de Venise où je voulais aller depuis longtemps.

Une matinée à Venise

Une matinée à Venise

Les mois passaient, j’allais fêter mes 27 ans. Juste avant mon job, j’avais fait ma demande de PVT. Elle avait été acceptée quasi au même moment que je signais le contrat de travail. C’était un CDD de 4 mois. Parfait pour me laisser partir le lendemain de mon 27e anniversaire.

J’étais heureux de partir vivre mon rêve mais je partais un an. Une année, c’est long ! Il peut se passer tant de choses, et il s’en est passé des choses, bonnes comme mauvaises !

Je me souviens de ce soir du 6 octobre 2015 où je disais au revoir à ma grand-mère qui était en pleurs. Nous étions vraiment proches. Une séparation douloureuse pour pouvoir vivre ce rêve que j’avais.

Les mois ont passés au Canada. J’ai voyagé au Québec, j’ai entraîné des chiens de traîneau durant 6 semaines, j’ai réalisé un hyperlapse de Montréal en hiver qui a fait le buzz. Tout se passait bien, si bien, et puis ce premier coup de massue qui me sortait de ce rêve. L’une de mes grands-mères venait de décéder, c’était compliqué de rentrer en Belgique. Pas possible de rentrer pour l’enterrement. Encore aujourd’hui, cela me perturbe d’avoir été absent.

J’étais en pleine recherche d’emploi, une nouvelle fois c’était difficile de trouver un job. Puis, avec le bouche à oreille, j’ai finalement trouvé un premier client pour qui je ferais des vidéos. Ensuite deux autres. Une expérience avec du bon et du mauvais mais qui m’a été utile pour la suite. J’ai fait cela de mars à juillet.

Je prévoyais de rentrer en Belgique en avril pour participer au salon des blogueurs de voyage. J’allais revoir ma famille après 6 mois au Canada, c’était cool, une belle occasion. J’allais surtout revoir ma grand-mère qui avait été en pleurs lors de notre séparation. La revoir, lui raconter mon expérience de 6 mois, l’écouter parler, c’était pour moi le plus important sur mon retour. Comme le monde peut être cruel parfois, il a décidé de l’être à son maximum avec moi ce jour là. Il venait d’y avoir l’attentat de Bruxelles quelques jours plus tôt donc des soucis avec les vols. J’avais une escale à Londres et mon vol Londres-Bruxelles était annulé. À peine atterrit à Londres que je vois le SMS le plus terrible que l’on peut recevoir et qui ne présage rien de bon « Jérôme, appelle-moi dès que tu peux ! ». Cet appel qui en a suivi, je l’entends encore mot pour mot, seconde par seconde. Cette voix de mon père m’annonçant cette nouvelle… Je ne pourrais jamais revoir ma grand-mère, plus jamais lui parler alors que quelques jours plus tôt, elle me disait par Skype toute sa joie de pouvoir enfin me revoir. Elle n’est plus là et on s’y attendait pas…

Mon expérience la plus traumatisante en voyage est celle-ci. Elle m’a changé car elle m’a laissé une crainte à chacun de mes départs.

Mon échappatoire a été l’écriture de cette lettre à mes grands-mères qu’elles ne pourront jamais lire.

Parc national de Banff - Canada

Parc national de Banff – Canada

De retour à Montréal, quelques contrats vidéos. Puis là, l’été s’en venait et je partais découvrir l’Ouest canadien durant un mois. Un voyage incroyable qui est l’un des plus beaux que j’ai pu vivre. J’en prenais plein la vue quasi quotidiennement. Je ne voulais pas que ça s’arrête…

Lac Louise - Parc national de Banff - Canada

Lac Louise – Parc national de Banff – Canada

Et tout doucement, tout doucement, voilà déjà 8 mois que je vivais à Montréal et que le PVT s’achevait. Il fallait rentrer en Belgique, heureusement avec un CDD de 6 mois qui m’attendait et qui s’était confirmé peu de temps avant mon retour. Community manager, création et gestion d’un site web pour une personnalité belge. J’allais pouvoir mettre à profit tout ce que j’avais appris dans la création et gestion de mon blog voyage. Génial, j’en étais ravi, mais malgré tout j’étais triste de quitter cette vie dans laquelle je m’étais installé. Triste de quitter Montréal pour qui j’étais « en amour ».

Montréal ma Belle

Montréal ma Belle

Pendant ces 6 mois, j’ai eu l’occasion de partir en solo à deux reprises. Une première fois à Timisoara et Belgrade et une seconde avec 9 jours en République Tchèque et la découverte de Prague, Brno et Cesky Krumlov. Vous pouvez revoir les stories de ces voyages sur ma chaîne YouTube.

À la fin du contrat de travail, il était venu le temps de réaliser mon plus grand rêve : devenir indépendant. Créer et gérer mon entreprise « Luno Factory », de travailler plus pour ce blog voyage afin de vous proposer bien plus de contenus, et aussi de venir revivre deux mois à Montréal.

Juin 2017. Dès ce retour en Belgique de Montréal, j’ai l’envie de découvrir ma région mais également mon pays. Désormais, je vous écris tout cela, ce retour de 5 années de voyage. Ce pas que j’ai franchi et pour lequel jamais je n’éprouverais de regrets. Cet article est aussi l’occasion de faire comprendre que le voyage est la plus belle chose au monde mais qu’il n’y a pas que des côtés positifs sur ce chemin vers la réalisation de son rêve. Je ne suis pas riche mais je suis heureux quand je voyage, heureux quand j’ai l’occasion d’échanger avec vous, et encore mieux de pouvoir vous rencontrer ici ou ailleurs sur Terre.

5 années que je voyage et plus de deux ans que je tiens ce blog. J’aime réaliser l’évolution et le bienfait que le voyage peut avoir. Par ma fenêtre, je vois les nuages bouger, et désormais, je bouge avec eux.

Oui là ce n'est pas la fenêtre chez moi mais depuis un hublot ;-)

Oui là ce n’est pas la fenêtre chez moi mais depuis un hublot 😉

Si je ne devais vous souhaiter qu’une chose, c’est de partir voyager et découvrir le monde, partir à la rencontre des gens qui peuplent ce monde. Si vous avez besoin d’aide pour vous préparer à partir, n’hésitez pas à passer par la page « les préparatifs pour partir voyager ».

Je vous remercie d’être là, d’être de plus en plus nombreux chaque jour à découvrir le monde ensemble. Le voyage est l’accomplissement d’une vie.

Parc national Yoho - Colombie-Britannique - Canada

Parc national Yoho – Colombie-Britannique – Canada

 

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